lundi 29 octobre 2018

La micro-entreprise : un statut sur mesure pour les jeunes entrepreneurs

La micro-entreprise : un statut sur mesure pour les jeunes entrepreneurs

EntrepreneuriatDevenir Auto-Entrepreneur Par L'équipe evo'portail - Posté le 17 octobre 2018 - Consulté 1639 fois

source : https://www.evoportail.fr/blog/2018/10/17/la-micro-entreprise-un-statut-sur-mesure-pour-les-jeunes-entrepreneurs
La liberté d’entreprendre a le vent en poupe ces derniers temps en France. Le sondage mené par l’institut Ipsos pour l’observatoire du travail indépendant tord le cou aux préjugés et aux idées reçues. La France est un pays où l’esprit d’entreprise s’ancre de plus en plus, notamment chez les jeunes.
La micro-entreprise tire son épingle du jeu, ce statut adapté aux jeunes créateurs d’entreprise ou porteurs de projet est plébiscité.
L’équipe d’evo’portail fait le point sur ce statut idéal pour les jeunes en 2 questions :
- Que nous révèle cette étude sur le travail indépendant ?
- Quelles sont les aides financières et les concours pour les jeunes qui se lancent dans la micro-entreprise ?   




La micro-entreprise : un statut qui à la côte auprès des jeunes

Le statut de travailleur indépendant ne laisse pas indifférent les Français. En effet,selon l’étude Ipsos d’août 2018, près d’un Français sur deux (49%) se dit concerné ou intéressé fortement par ce statut. Ce chiffre augmente à 57 % pour les moins de 35 ans.
Devenir travailleur indépendant a particulièrement la côte chez les chômeurs qui voient une opportunité de débouchés importante. 44 % d’entre eux n’ont jamais exercé cette activité professionnelle indépendante mais sont fortement intéressés pour tenter l’expérience.
Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) est encore important en France puisqu’il représente un peu moins de 21 % (20,8%) de l’ensemble des demandeurs d’emplois.
La micro-entreprise (anciennement auto-entreprise) peut être un bon moyen pour sortir du chômage, notamment dans cette tranche d’âge. Les avantages sont nombreux :
création de son propre emploi ;
liberté dans la gestion de son activité ;
facilité pour créer son entreprise : formalités de création allégées, obligations comptables réduites (en dessous des seuils de TVA) ;
aides du Pôle Emploi : possibilité de cumuler ses allocations chômage et son statut auto-entrepreneur.
A la question “dans 10 ans quels seront selon vous les trois domaines d’activité les plus créateurs d’emplois ?”, le panel interrogé a répondu à près de 70 % : le numérique (67 %). Le numérique englobe une large palette de métiers : web master, web designer, trafic manager, etc., et d’autres métiers que nous ne connaissons pas encore mais qui apparaîtront dans les années à venir avec l’explosion du big data.
Le monde digital est un univers au potentiel attractif fort pour les jeunes générations.
Le deuxième domaine qui se démarque également dans ce sondage porte sur l’environnement. 56 % des personnes interrogées estiment que l’environnement et les énergies renouvelables seront des domaines les plus créateurs d’emplois d’ici 10 ans.  
Le statut de la micro-entreprise peut répondre aux attentes dans ces différents secteurs d’activité de part sa souplesse d’adaptation. Il l’a déjà montré dans le passé, par exemple dans le secteur des services à la personne. La flexibilité de ce statut est une réponse appropriée aux métiers du futur, pour lesquels la population jeune a une grande attirance.
 

Jeunes et auto-entrepreneurs : quelles aides financières et quel accompagnement ?

L’étude Ipsos a permis de mettre en lumière une mauvaise connaissance des formes que le travail indépendant pouvait prendre. L’auto-entreprise tire son épingle du jeu. Des dispositifs pour les jeunes chômeurs ainsi que pour les étudiants sont là pour les aider à développer leur projet.

Les formes de travail indépendant encore méconnus

Le développement du travail indépendant est, selon l’enquête Ipsos, très bien accueilli par les entreprises comme par les travailleurs. 86 % considèrent que le statut de travailleur indépendant favorise l’épanouissement des travailleurs, 85 % estiment qu’il favorise l’emploi et 82 % pensent que cela répond aux besoins des entreprises. Cependant dans le même temps, les Français sont encore mal informés sur ce que représente ces nouvelles formes de travail.
56% ne savent pas précisément ou ne savent pas du tout ce qu’est la micro-entreprise. (34 % pas précisément, 21 % pas du tout). Quant aux autres formes de travail indépendant testées, elles semblent être encore plus confidentielles. Ainsi, le coworking et le temps partagé sont mal connus : seul, un cinquième des personnes interrogées savent précisément ce que sont le coworking (22%) et le temps partagé (21%). Quant au portage salarial, seuls 16% ont une idée précise de ce que recouvre ce terme.
Le coworking est un espace de travail partagé entre plusieurs travailleurs indépendants. Mais ce concept en perpétuelle évolution va au-delà d’un lieu, puisqu’il permet de créer une véritable communauté dans laquelle des projets pluridisciplinaires peuvent naître.
Le portage salarial est une option différente de l’auto-entreprise. Il permet au travailleur indépendant de devenir salarié tout en gardant son indépendance quant à la recherche de ses clients ou la maîtrise de son activité. Les aspects administratifs et juridiques seront quant à eux gérés par l’entreprise de portage salarial.
La micro-entreprise (ou auto-entreprise) est un régime spécifique au sein de la forme juridique des entreprises individuelles. Les personnes optant pour la micro entreprise bénéficie d’un régime fiscal, comptable et social simplifié. Ce statut est donc idéal pour lancer une nouvelle activité.
 

Des aides spécifiques sont attachées au statut d’auto-entrepreneur


Les jeunes qui désirent se lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat ne connaissent pas forcément l’ensemble des dispositifs d’aides et d’accompagnement pour créer leur propre micro-entreprise. L’équipe d’evo’portail fait le point sur les principales aides concernant les jeunes chômeurs et l’ACCRE et les aides ou concours étudiants.
  • Focus : les jeunes chômeur et l’ACCRE
L’Etat a mis en place l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE), dont les jeunes chômeurs peuvent bénéficier sous conditions.
L’ACCRE concerne notamment les personnes âgées de 18 ans à moins de 26 ans. Cette aide consiste en une exonération partielle de charges sociales et un accompagnement (en faisant une demande expresse) pendant les premières années d'activité. Elle permet aussi à certains bénéficiaires de prétendre à d'autres formes d'aides (Code du travail : articles R5141-1 à R5141-3 ).
Ce dispositif a été pensé comme un appui aux jeunes créateurs ou repreneurs d’entreprises.
Le bénéficiaire de l’ACCRE est exonéré d’un certain nombre de cotisations correspondant notamment :
- à l'assurance maladie, maternité, invalidité, décès ;
- aux prestations familiales ;
- à l'assurance vieillesse de base.
Pour les auto-entrepreneurs, l’exonération débute à partir de la date d'effet de l'affiliation.
La durée de l'exonération est de 12 mois. Toutefois, l'exonération peut être de 3 ans pour une micro-entreprise. La durée de l'exonération, totale ou partielle, peut être prolongée lorsque l'entreprise créée ou reprise entre dans le champ du régime des micro-entreprises.

Le projet de loi de finances pour 2019 est actuellement en discussion au Parlement.
Selon le projet, “dès le 1er janvier 2019, une « année blanche » de cotisations sociales sera accordée à tous les créateurs et repreneurs d’entreprises, sous condition de ressources. Cette exonération prendra la forme d’un élargissement du dispositif de l’ACCRE actuellement soumis à des critères spécifiques d’éligibilité”. Ces mesures ne seront effectives qu'à partir de 2019, sous réserve de leur vote par le Parlement. Ce dispositif reste complexe et chaque situation étant un cas particulier, il est conseillé de faire appel à notre assistance evo’portail pour un accompagnement sur mesure.
 

Comment devenir auto-entrepreneur et étudiant ?

Entreprendre tout en faisant ses études est un défi mais aussi une opportunité sur plusieurs plans :
lancer son affaire pendant ses études peut être mis à profit pour financer celles-ci.
C’est un moyen de prouver à son futur employeur son esprit d’initiative, de faire émerger son potentiel et d’engranger l’expérience professionnelle indispensable sur le marché du travail.
C’est la possibilité de mettre en pratique les connaissances théoriques acquises sur les bancs de la fac.
Dans le même temps, l’étudiant-entrepreneur ne peut consacrer trop de temps à son activité économique sous peine de rater ses examens.
Il lui faut donc une structure souple et une gestion administrative et juridique allégée. Le régime juridique de la micro-entreprise paraît par sa simplicité tout à fait indiqué dans une telle situation.
  • Focus : Étudiant boursier et auto-entrepreneur
Il n’existe aucun obstacle pour qu’un étudiant boursier devienne auto-entrepreneur. Cependant, la bourse sur critères sociaux dans l’enseignement supérieur suppose que l’étudiant soit inscrit et assidu aux cours et travaux pratiques, qu’il se présente aux examens et réalise les stages obligatoires intégrés à son cursus. Le non respect de ces règles entraîne la suspension de la bourse voire le remboursement des sommes perçues.
A côté de la gestion du temps, doit également être pris en compte les contraintes de revenu. L’étudiant boursier s’il répond ainsi aux exigences d’assiduité, peut continuer à percevoir la bourse, et ce quelque soit les revenus issus de son activité d’auto-entrepreneur. Cependant, sa bourse pourra être remise en cause selon le montant des revenus perçus en n+2. En effet, le calcul de la bourse s’opère en tenant compte des revenus perçus n-2. Ainsi, si lors de l’année n, les revenus issus de son activité sont supérieurs aux plafonds de ressources ouvrant droit à la bourse sur critères sociaux, alors l’étudiant pourra bénéficier de celle-ci en n+1, mais il n’y aura plus droit en n+2.  
Se lancer dans l’entreprise, suppose donc de peser en amont les risques qui s’y rapportent. L’équipe d’evo’portail est là pour répondre à l’ensemble des problématiques qui peuvent se poser lors du lancement de son activité d’auto-entrepreneur.

Un ensemble d’aides  et de concours ont été mis en place pour les jeunes diplômés ou étudiants.
Notre sélection :
Aides ou concours étudiantsConditions d’accèsAvantages
 Statut national étudiant entrepreneur (SNEE Etre étudiant ou jeune diplômé (minimum  baccalauréat
ou équivalent)
avoir moins de 28 ans
pas de condition de nationalité
Accès à des prestations délivrées dans le le cadre du PEPITE :
- Accompagnement par un enseignant ou un référent externe du réseau PEPITE
- Accès espace de coworking
- Possibilité de signer un  contrat d'appui au projet d'entreprise (CAPE). C’est un contrat grâce auquel une couveuse va vous fournir un programme de préparation à la création ou à la reprise.
 
Concours Moovjee : Prix pilote pour les porteurs de projets et les auto-entrepreneurs
 
Agés de 18 à 26 ans inclus (ou 30 ans inclus pour les étudiants doctorants)
et étant porteur de projet de création d’entreprise
avec création effective
ou
auto-entrepreneur souhaitant transforme
 
 Prix :
- Dotation globale de 150 000 €
 - Accompagnement (mentorat) offert
 - Visibilité médiatique etc.
 
100 jours pour entreprendre
http://www.100jourspourentreprendre.fr/
 
Agés de 18 à 26 ans inclus
porteur de projet création d’entreprise
Prix : 2 500 €, un an de mentorat, soutien du réseau 100 jours
Graines de boss
http://www.grainesdeboss.com/
 
Jeunes créateurs d'entreprise (moins de 5 ans d'activité)
qui ont :
- Business model validé
- Proof of Concept (POC) effectué.
Test concluant du produit/ service sur un marché
- Premiers clients générant un chiffre d’affaires
- Traction prouvée sur le marché
Prix : financement du développement, visibilité médiatique, contrats signés avec des partenaires
Petit poucet
https://petitpoucet.fr/#/leconcours/
 
Tous les étudiants et jeunes diplômés, issus d’écoles de commerce, d’ingénieurs, d’IUT, de BTS ou d’Universités,
aux doctorants, aux étudiants designers, stylistes, architectes, infographistes, artistes et artisans.
 
Plusieurs prix avec des dotations  allant de 1500 € à 3 000 € et un accompagnement par le réseau


 

L'audace réussit à ceux qui savent profiter des occasions” écrivait Marcel Proust, dans son immense oeuvre, A la recherche du temps perdu. Une grande partie de la nouvelle jeunesse française semble prête à faire le grand saut pour monter sa propre boîte. Les aides, les concours, l’accompagnement, sont autant d’occasions pour concrétiser son projet entrepreneurial. Il n’y a donc plus une minute à perdre !

Sources :
https://www.ipsos.com/fr-fr/les-francais-et-le-travail-independant
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F11299
Auto-entrepreneur, Micro-entrepreneur, Xavier Delpech, Delmas Editions, 4ème édition 2017-2018, Paris, 2016.
 

Comment devenir auto-entrepreneur ? : Les démarches à suivre

Comment devenir auto-entrepreneur ? Les démarches à suivre 


Que vous soyez déjà salarié, fonctionnaire ou même à la retraite, il vous est possible de créer votre auto-entreprise à petite échelle grâce au statut d'auto-entrepreneur qui permet de faciliter l'accès à l'entreprenariat individuel tout en bénéficiant d'avantages fiscaux.
Créé en 2008, le statut d'auto-entrepreneur est aujourd'hui très prisé et permet de pratiquer une activité en parallèle d'une autre. Depuis le 1er janvier 2016 le statut d'auto-entrepreneur est devenu celui du « micro-entrepreneur ». Il s‘agit d'une modification de nom qui n'implique pas de changements majeurs.  Le régime de l'auto-entrepreneur ne constitue pas un statut juridique, mais un régime simplifié de l'entreprise individuelle.
Cette fiche pratique a pour but de vous indiquer les différentes démarches à suivre afin de devenir auto-entrepreneur tout en vous offrant un accompagnement dans ce processus.

Qui peut bénéficier du statut de l'autoentrepreneur ?

La majorité des activités professionnelles sont autorisées avec le régime de la micro-entreprise.
Voici les 3 secteurs dans lesquels les autos-entrepreneurs peuvent pratiquer une activité :
  • Le commerce proprement dit de marchandises
  • L'artisanat
  • Toutes les professions libérales
Certains métiers tels que celui de médecin, avocat ou encore agriculteur ne peuvent pas être exercés sous le régime de l'auto-entreprise.
Bien qu'aucun diplôme ne soit requis pour créer un statut d'auto-entrepreneur, certaines activités peuvent néanmoins être soumises à autorisation et nécessiter certaines qualifications. Cela est le cas par exemple de l'électricien qui, avec le statut d'auto-entrepreneur doit justifier son expertise au moyen d'une diplôme ou de toute autre qualification professionnelle.
Pour plus de précisions sur les spécificités liées à l'activité que vous souhaitez exercer avec le statut d'auto-entrepreneur, votre assistance Evo'portail se tient à votre disposition

Devenir auto-entrepreneur : Le plafond de chiffre d'affaires

Le montant du chiffre d'affaires de l'auto-entrepreneur est plafonné. Il s'agit là d'une des composantes les plus importantes du régime. En effet, si les plafonds sont dépassés l'auto-entrepreneur ne pourra plus bénéficier des avantages de ce régime (micro-social) et devra passer au régime réel qui impliquera des coûts tels que la facturation de la TVA et des charges aux forfaits.  Le chiffre d'affaires de l'auto-entrepreneur ne doit donc pas dépasser les sommes suivantes :
  • 70 000€ pour les prestations de service
  • 170 000€ pour les activités commerciales
A partir de 35 200€ de chiffre d'affaires pour une activité de prestation de service et 91000€ pour une activité commerciale, l'Auto entrepreneur sera assujetti assujetti à la TVA.
Si vous créez votre micro-entreprise en cours d'année, le chiffre d'affaires sera calculé au prorata.
Plusieurs micro-entreprises ont dû freiner leurs projets en raison des seuils de chiffre d'affaires à respecter. C'est pour cette raison que le gouvernement a revu ces montants à la hausse en 2018. Etant donné le succès de ce régime très apprécié par les entrepreneurs actuellement en France, l'État a souhaité leur offrir le maximum de possibilité pour développer au mieux leurs projets. Ces seuils ont été respectivement doublés pour être évalués à 70000€ et 170000€ depuis le 1er janvier 2018. Si votre CA dépasse ce seuil, il vous faudra basculer vers une entreprise individuelle.
Si vous possédez déjà une société individuelle, il vous faudra formuler une demande auprès de votre centre de paiement Sécurité sociale des indépendants (ancien RSI) pour obtenir les avantages de l'auto-entrepreneuriat. Aussi, si vous venez de basculer sous le système de l'entreprise individuelle et que votre CA se trouve encore sous les nouveaux seuils, il vous sera alors possible de revenir au mode de fonctionnement d'une micro-entreprise en formulant également une demande auprès de ce même centre.

Devenir auto-entrepreneur : Comment déclarer son activité d'auto-entrepreneur ?

Déclarer son activité d'auto-entrepreneur est désormais accessible via des démarches simplifiées. Une déclaration du montant annuel du CA brut ou des recettes, ainsi que les plus ou moins-values subies ou réalisées au cours de l'année sont également obligatoires pour déclarer son activité d'auto-entrepreneur.
Pour devenir auto-entrepreneur, en fonction de la nature de votre activité, il vous suffira de compléter le formulaire de déclaration en ligne et de l'adresser accompagné des pièces justificatives au Centre de Formalités des Entreprises compétent pour traiter votre demande. Evoportail vous propose de vous accompagner dans cette démarche.
Avec ou sans autre activité, l'immatriculation au RCS pour les commerçants et au RM pour les artisans est obligatoire depuis le 19 décembre 2014. Depuis le 1er janvier 2015, cette immatriculation se fait au moment de la déclaration de début d'activité pour tous les nouveaux auto-entrepreneurs

Devenir auto-entrepreneur : Le régime

Le régime fiscal de l'auto-entrepreneur a de nombreux avantages et est d'une grande souplesse ce qui le rend si prisé. En tant qu'auto-entrepreneur vous serez automatiquement sous le régime « micro social ». Vous pourrez également opter pour l'impôt libératoire sur le revenu.
Une franchise en base de TVA est possible tant qu'on a un chiffre d'affaires inférieur ou égal à 35200€ en prestations de services et 91000€ en achat-revente. Toutefois, cela signifie que la TVA ne peut plus être ni déduite des achats ni récupérée.
Enfin, en termes de sécurité sociale, l'auto-entrepreneur est d'office affilié au Sécurité sociale des indépendants (ancien RSI).

Devenir auto-entrepreneur : Quelles sont les obligations comptables ?

Contrairement à d'autres régimes, les obligations de l'auto-entrepreneur en matière de comptabilité sont assez simplifiées. Celui-ci n'est pas obligé d'établir un état des lieux financier annuel, mais simplement tenir un livre des recettes et un registre des achats. Pour remplir ces obligations comptables, le micro-entrepreneur aura deux choix. Il peut soit tout enregistrer sur un support en papier, soit utiliser un logiciel comptable spécifique. L'auto-entrepreneur a pour obligation de conserver tous les documents comptables tels que les factures ou autres justificatifs d'achat ou de vente.  Avec le doublement des plafonds depuis le 1er janvier 2018, en cas de dépassement des seuils de 35200€ et 91000€, l'Auto-entrepreneur devra aussi déclarer et collecter la TVA.

Devenir auto-entrepreneur : Les cotisations sociales de l'auto-entrepreneur

Comme toutes les autres formes d'entrepreneuriat, le régime de l'auto-entrepreneur implique des cotisations sociales. En France, il est possible pour les entrepreneurs d'effectuer un règlement simplifié de leurs cotisations sociales. En effet, en l'absence de chiffre d'affaires, l'auto-entrepreneur ne sera soumis à aucune cotisation.
Voici le pourcentage qui doit être affairé aux cotisations sociales de l'auto-entrepreneur.
  • 12,80% pour les activités commerciales
  • 22% pour les prestations de services commerciales ou artisanales (BIC)
  • 22% pour les autres prestations de services (BNC) et les professions libérales

Devenir auto-entrepreneur : Les aides à la création d'entreprise

L'auto-entrepreneur peut bénéficier de nombreuses aides afin de réaliser au mieux son projet entrepreneurial. Le micro-entrepreneur pourra notamment bénéficier d'aides financières telles que l'obtention de l'ACCRE, sous certaines conditions, qui permet au bénéficiaire une réduction de ces charges. Les demandeurs d'emploi pourront aussi bénéficier d'allocations de retour à l'emploi (ARE).
L'ADIE, quant à elle, est une association qui aide les entrepreneurs à financer leurs projets en l'absence de crédit accordé par les banques.
Outre l'aspect financier, il existe des réunions d'information et des formations à l'intention des micros-entrepreneurs par le biais des chambres de commerce et d'industrie ou encore par la chambre des métiers et de l'artisanat. Votre assistance administrative Evo'portail, composée d'experts du régime de l'auto-entrepreneur, se tient également à votre disposition pour vous apporter toutes les informations nécessaires.

En Conclusion

Le régime de l'auto-entrepreneur offre l'opportunité à beaucoup de français de réaliser leur rêve entrepreneurial. Grâce à cette pratique, le micro-entrepreneur pourra bénéficier de plusieurs avantages, principalement d'ordre juridique et fiscal. Si certains l'utilisent comme un complément de revenu, beaucoup l'adoptent pour créer une activité à part entière. Pour démarrer au mieux votre activité en tant que micro-entrepreneurs, Evo'portail vous accompagne dans vos différentes démarches administratives et juridiques.

source : https://www.evoportail.fr/devenir-auto-entrepreneur?utm_source=blog

Création de TPE : pourquoi et comment créer une SASU ?

Création de TPE : pourquoi et comment créer une SASU ?

Porteur d’un projet d’entreprise, vous ne savez pas forcément ce qu’est la SASU, la version unipersonnelle de la SAS pour un entrepreneur qui démarre seul son activité. Dans le cadre d’une TPE, c’est un cadre juridique à considérer. Yohann Vincent d'Annonces-legales.fr, partenaire de Challenges, nous explique. 

Création d'une tpe
Création d'une tpe, comment créer une SASU ? 
SHUTTERSTOCK

Une société unipersonnelle aux statuts librement définis

Déclinaison individuelle de la SAS, la SASU offre aux créateurs d'entreprise une très grande marge de manœuvre pour rédiger le contenu des statuts qui seront enregistrés au registre du commerce et des sociétés (RCS). Ainsi, le créateur de la société peut définir des critères très personnels pour l'ouverture de son capital social à d'autres actionnaires ou investisseurs (type fonds d'investissement). De même, il peut définir les pouvoirs de décision et de contrôle en s'attribuant des pouvoirs de décision indépendants du niveau de sa participation au capital social. Devenant une SAS avec l'arrivée d'un ou plusieurs actionnaires, la société peut redevenir une SASU si les actions sont de nouveau détenues par une seule personne (physique ou morale).
Bien évidemment, quelques formalités sont indispensables pour que ces modifications statutaires soient effectives.

Un statut intéressant pour le dirigeant rémunéré au titre de son mandat social

Si vous êtes rémunéré en tant que président de votre SASU pour ce mandat social, vous disposez d'un statut de salarié. Cette forme juridique permet de ne pas être concerné par le RSI ou le nouveau système mis en place pour le remplacer, la Sécurité sociale pour les indépendants. Cette particularité de la SAS / SASU, en plus de la liberté statutaire, explique sa part croissante dans les statistiques des créations de sociétés commerciales.

Constituer une société avec un capital social libre à partir de 1 euro

L'abaissement du capital social à 1 euro au lieu de 37 000 euros a été également très favorable à son succès. Comme dans toute société commerciale, vous pouvez réaliser des apports en numéraire, en nature et en industrie dans le cadre de la SASU. Ces apports peuvent être réalisés dès le démarrage de la société, ou plus tard pour développer son activité. Alors que la société à responsabilité limitée (SARL) était la forme la plus utilisée depuis longtemps par les créateurs d'entreprise, elle est de moins en moins utilisée, même depuis la création (en 1985) de l'entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), sa forme unipersonnelle. La rigidité des statuts de l'EURL et le régime social du dirigeant des points à prendre en considération.

Un dirigeant de société au prélèvement à la source

Avec la mise en place du prélèvement à la source, en tant que dirigeant d'entreprise rémunéré pour son mandat de président de votre SASU, vous ferez une simple déclaration de salarié. Pour les dividendes, rien de nouveau si votre société vous en verse. Le régime fiscal de la SASU est par défaut celui de l'impôt sur les sociétés (IS). Mais il est possible d'opter pour le régime fiscal des personnes physiques pour une durée de 5 ans maximum. Pour le début de l'activité de votre société, c'est un choix qui peut être intéressant.

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Des statuts que vous pourrez modifier pour faire grandir votre projet

La SASU vous permet de réaliser la création d'une entreprise que vous aurez la possibilité de faire grandir avec d'autres actionnaires ou investisseurs. En tant que dirigeant fondateur, vous pourrez garder un pouvoir de décision important si vous le souhaitez, tout en ouvrant le capital social de votre entreprise. Les statuts juridiques d'une SASU sont un peu plus techniques à rédiger que ceux d'une EURL, vous avez donc réellement intérêt à prendre le temps de bien les concevoir.

Apporter un capital cohérent avec l’activité de votre entreprise

Les moyens nécessaires à la création de la SASU ne sont pas plus élevés que pour une autre forme juridique. Le capital social minimum à déposer à la banque ou à la Caisse de Dépôts et Consignation est fixé à 1 euro. Vous avez évidemment à doter votre entreprise d'un capital social plus élevé. Cela donne plus de crédibilité à votre entreprise, que ce soit vis-à-vis de votre banque (pour un crédit par exemple) ou des clients et fournisseurs. Le code du commerce qui régit la vie des sociétés permet de ne déposer que 20 % lors de la création de l'entreprise. Vous disposez ensuite de 5 ans pour libérer la totalité du montant figurant dans vos statuts lors de la création de la société.
Autant éviter des modifications statutaires avec la publication d'une annonce légale et l'enregistrement au registre du commerce et des sociétés (RCS), mais vos statuts de SASU ne sont pas figés. Et étant actionnaire unique, vous avez une marge de manœuvre assez large pour les modifier avant de passer à une SAS.
Si la forme juridique de la SAS et de la SASU a d'abord été utilisée pour créer des entreprises à forte croissance (startup) dans les secteurs high-tech ou de la biotechnologie, elle est maintenant utilisée par des activités beaucoup plus classiques des services ou de production.

source : https://www.challenges.fr/annonces-legales/creation-de-tpe-pourquoi-et-comment-creer-une-sasu_619422

Création d’entreprise : une croissance de près de 20% sur un an



Création d’entreprise : une croissance de près de 20% sur un an



 Proposé par La rédaction
Selon les derniers chiffres de l'Insee, le nombre cumulé d'entreprises créées sur les 12 derniers mois (en données brutes) a bondi de 17,9 %. Dans le détail, les micro-entreprises sont en croissance de 27,9% et les créations d'entreprises individuelles de 23,5%.
En France, la création est dynamique et varie beaucoup en fonction du secteur d’activité, du statut juridique, de l’accompagnement ou encore du profil du créateur. La Direction générale des entreprises a édité fin 2017, un document relatant la situation entrepreneuriale française : 46% des demandeurs d’emploi choisissent le régime du micro-entrepreneur pour créer leur entreprise : c’est un levier majeur d’insertion et de sensibilisation.Fin décembre 2017, le nombre de micro-entrepreneurs inscrits est de 1 183 000, soit une hausse de 11,3 % sur un an, selon les chiffres de l'Acoss. 723 000 micro-entrepreneurs déclarent un chiffre d'affaires positif au quatrième trimestre 2017, soit 61,1 % des inscrits. Les secteurs des transports, des activités immobilières, de la santé et de nettoyage sont les plus dynamiques.

source : https://solutions.lesechos.fr/flash-infos/entrepreneuriat/creation-dentreprise-une-croissance-de-pres-de-20-sur-un-an












Se lancer dans la création d’une entreprise digitale

Se lancer dans la création d’une entreprise digitale

 Proposé par La rédaction
Les enjeux du numérique vous attirent et vous avez décidé de créer une entreprise digitale ? Les démarches sont les mêmes que pour l'ouverture d'une entreprise « classique ». Vous devez enregistrer votre société auprès du Registre de Commerce et des Sociétés afin d’obtenir votre immatriculation et commencer votre activité. Cependant, la démarche stratégique diffère. Explications.

Pourquoi créer une entreprise digitale ?

L’avènement de l’Internet et du monde numérique a changé les comportements des consommateurs et par extension le fonctionnement des entreprises. Aujourd’hui, être présent sur la toile est presque une obligation. Bien sûr, il s‘agit aussi d’adapter sa stratégie au digital. Il y a deux façons de créer une entreprise digitale, vous pouvez créer votre entreprise, un e-commerce ou une agence digitale classique par exemple. Vous pouvez aussi opter pour une stratégie cross-canal, c’est-à-dire que vous possédez déjà une entreprise « physique » et vous souhaitez l’étendre sur Internet. Vous créez ainsi un nouveau point de vente.

Les avantages d’une entreprise digitale

Sur les 52 millions d’internautes français, 37 millions font leurs achats sur internet. Une tendance en pleine croissance. La possibilité d’effectuer ses achats sur mobile (1 acheteur sur 3) ne fait que porter la croissance de ce marché. Choisir d’avoir un e-commerce par exemple, c’est augmenté sa visibilité. D’une part, votre e-commerce est disponible à toute heure du jour et de la nuit. Vous n’avez pas de limite géographique donc vous vous ouvrez à une nouvelle clientèle et une possible augmentation des ventes. Le commerce physique et le e-commerce sont complémentaires. Aujourd’hui, de nombreux commerces proposent les deux services. L’un ne pénalise pas l’autre, c’est même plutôt l’inverse puisque le commerce en ligne permet d’augmenter le chiffre d’affaire.

Comment créer une entreprise digitale ?

La création d’une entreprise digitale ne diffère pas vraiment d’une entreprise classique. Les formalités sont identiques et vous devez-vous poser les mêmes questions :
  • Quelle forme juridique ?
  • Quel régime fiscal ?
  • Quel statut social pour le chef d’entreprise ?
  • Comment protéger son patrimoine personnel ?
  • Quelle dénomination sociale ?
  • Comment construire le financement ?
Ces questions vous permettront de remplir votre dossier de création d’entreprise et de rédiger vos statuts. Le dossier sera ensuite déposé au Centre de Formalités des Entreprises qui vous donnera l’immatriculation de votre entreprise et vous permettra de commencer votre activité. Si vous avez déjà une entreprise et que vous souhaitez simplement créer un e-commerce, nous vous conseillons d’être accompagné d’un professionnel dans le domaine. Il vous aidera à créer votre site, mettre en place vos produits. Vous devrez réfléchir à une stratégie digitale adaptée à votre nouveau canal de distribution. Pour mettre en place un site, vous pouvez compter entre 5000 et 15 000 euros pour un site évolutif et professionnel. Vous devrez rajouter l’hébergement à ce prix qui coûte entre 0 et 100 euros par mois. Enfin, n’oubliez pas d’estimer un budget de communication. Créer une entreprise digitale peut être un réel atout pour les entreprises qui ont déjà un commerce physique ou pour ceux qui veulent tout simplement se lancer dans entrepreneuriat.
source : https://solutions.lesechos.fr/flash-infos/entrepreneuriat/creation-dentreprise-une-croissance-de-pres-de-20-sur-un-an/

Transformation digitale : activez les bons leviers !

Transformation digitale : activez les bons leviers !
A l’ère du digital, le monde de l’entreprise est en pleine mutation et un tel changement se prépare et s’accompagne. Managers, collaborateurs, équipes marketing / communication ou encore DSI doivent travailler ensemble afin d’appréhender les nouveaux enjeux numériques, repenser les modèles traditionnels d’entreprise ou encore se familiariser avec les nouveaux outils digitaux. Voici quelques leviers à connaître pour réussir sa transformation digitale.

Transformation digitale et expérience collaborateur

La transformation digitale a permis d’accroître les performances de l’entreprise, en développant communément expérience client et expérience collaborateur. Chaque entreprise doit donc prendre ces deux virages pour faire face aux nouvelles révolutions digitales : IoT, impression 3D, smart data, Intelligence artificielle, blockchain…Mais se transformer, évoluer pour une entreprise, demande avant tout d’être efficace en interne.
Le numérique a en effet apporté de nouveaux outils, de nouvelles méthodes de travail mais aussi de nouvelles réflexions et organisations. Les anciens doivent apprendre à se familiariser avec le nouveau monde du digital mais aussi avec les nouvelles recrues qui bouleversent les habitudes managériales. Rapidité, instantanéité, impatience sont souvent les termes qui décrivent la nouvelle génération professionnelle habituée à manier le web et les réseaux sociaux sans jamais se déconnecter.
Les managers doivent donc gérer ces nouveaux profils digitaux tout en gardant à l’esprit qu’ils sont aussi force de proposition, créatifs, et porte-paroles de l’entreprise. Avec l’avènement du digital, la démocratisation du discours en entreprise est née. Les collaborateurs expriment leur savoir-faire, expérience sur le web à travers les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn ou Twitter.
Pour réussir sa transformation digitale, l’entreprise doit donc voir son collaborateur comme un véritable ambassadeur, incarnant la marque, les valeurs, la notoriété de la société. Le manager doit apprendre à faire confiance et à responsabiliser chacun de ses collaborateurs. On parle alors d’un management en mode « collaboratif » et « agile » – l’organisation interne est notamment simplifiée.
Mais il ne s’agit pas seulement d’une relation managériale qui évolue, le cadre de travail est également modifié par le digital. Employeurs / employés proposent aujourd’hui de plus en plus d’environnements de travail offrant un bien-être « comme à la maison » face à la mobilité et à l’émergence des espaces de travail de type coworking. Télétravail, nomadisme, freelance s’invitent ainsi aux portes de l’entreprise, bouleversant les schémas traditionnels.

Transformation digitale et expérience client

A l’ère du digital, les nouveaux objets connectés ont fait leur apparition tout comme les nouveaux outils de communication / marketing et relation client (social selling). Tout est à revoir ou presque.
Les clients 2018 ont changé. Avides du web, des nouvelles formes de consommation, grâce à internet, ils peuvent comparer, partager, recommander un produit / service et cela change tout en termes de stratégie marketing, communicationnelle et commerciale. Dans un parcours client digitalisé, il faut rechercher la simplicité, la fluidité, le visuel, l’émotion. Cette manière d’appréhender la relation client est essentielle pour émerger et se différentier.
De nombreux outils marketing ont vu le jour : sites web responsive, campagnes de communication sur les réseaux sociaux, applications ultra-désignées, e-mailings, SMS, référencement naturel, achat de mots clés / backlinking…
Et l’objet préféré des Français, le smartphone – 80% des français en 2017 l’utilisent, selon une étude Deloitte – est devenu un levier primordial pour réussir sa transformation digitale. Plus de notion du temps, la connectivité est permanente pour les e-consommateurs. Ils peuvent géolocaliser leur magasin préféré ou bien se connecter à Twitter pour connaître les nouvelles tendances produits / services. La DATA a envahi les magasins, les clients ultra-branchés recherchent la donnée visuelle : vidéos, post réseaux sociaux, sites colorés ou encore information courte – les nouvelles techniques marketing pour séduire les consommateurs se réinventent.

Transformation digitale et réseaux sociaux

Selon les derniers chiffres compilés par l’agence We Are Social Singapour et Hootsuite (source Blog du modérateur), on compte 3,8 milliards d’internautes (51%), 3,0 milliards d’utilisateurs des réseaux sociaux (40%) et 2,8 milliards d’utilisateurs des réseaux sociaux sur mobile (37%).
 Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn…A l’ère du digital, les entreprises ne peuvent plus faire l’impasse sur la stratégie marketing des réseaux sociaux. Diffusion de contenus, promotion des nouveaux produits / services, le social media engage, fédère et rend viral les actions de communication de l’entreprise. Le web, devenu social, permet de créer une nouvelle relation client, plus valorisante et plus intime. De plus, les collaborateurs d’entreprises sont souvent des influenceurs, et permettent de promouvoir la marque, de la faire briller. Les barrières entreprises et consommateurs tombent, laissant place au partage des expériences.
Digitalisation des entreprises, nouvelles technologies, ressources humaines, SEO et SEA, RGPD, Inbound marketing… Autant de sujets sur lesquels les dirigeants d’entreprises doivent s’informer et se mobiliser rapidement. Conscients des enjeux et de l’importance de la digitalisation au sein des TPE-PME, Les Echos Solutions et Orson.io, médias et acteurs de ce bouleversement, délivrent quelques bonnes pratiques en matière de digitalisation : Découvrez et contribuez au TOP 100 des meilleurs conseils pour réussir la transformation numérique de son entreprise.
SOURCE : HTTPS://SOLUTIONS.LESECHOS.FR/BUSINESS-DEVELOPMENT/C/DIGITALISATION-DE-LENTREPRISE-LEVIERS-REUSSIR-TRANSFORMATION-DIGITALE-9916/
ARTICLE ÉCRIT PAR
RESPONSABLE ÉDITORIAL
Cyndie GuezCyndie GUEZ est Responsable de Contenu Numérique pour le pôle E-Business de la Direction Digitale. Diplômée d’un double Master de la Sorbonne (en sémiologie, information et communication), Cyndie a effectué pl  ...
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